Nom : Draven
Prénom : Andréas
Age : 19 ans
Date de naissance : 14 mars
Nationalité : Américain
Préférence sexuelle : bisexuelle
travail étudiant
Prédéfini : non
Description PhysiqueJe suis grand, blond, plutôt mignon, et voila … Quoi ça ne vous suffit pas ? Alala, vous êtes exigeant dites-moi. Bon. Je suis assez grand, je mesure dans les 1 mètre 78 environs. J’ai la peau assez claire, malgré le beau soleil de Californie. Mais je ne suis pas blanc comme un cachet d’aspirine non plus. Je suis blond, d’un blond dorée 100% naturel. Et oui, bien qu’il m’est arrivé de me faire des mèches, pour m’amuser. Je n’aime pas vraiment avoir les cheveux courts. Je les porte le plus souvent jusqu’aux épaules, dégrader. Mes cheveux sont la plupart du temps en bataille. Normal puisque je passe souvent la main dedans, et que le peigne n’est pas vraiment mon ami. Mes yeux sont un peu allongés, légèrement en amande aussi. Ils ont une couleur peu commune, puisque c’est celle de l’ambre. Bien que selon mon humeur, ils peuvent varier de tons, fonçant légèrement. J’ai des cils assez longs, presque comme une fille. D’ailleurs mon visage est assez fin, légèrement féminin mais pas trop. Heureusement pour moi. Mon visage est plutôt expressif. J’ai aussi les canines un peu trop allongées par rapport à la normale. Cela me donne un petit air bestial quand je souris. J’ai un corps svelte. Étonnant quand on sais mon amour inconditionnel de tous ce qui est sucrerie. Je suis pas vraiment un athlète, sans pour autant détester le sport, que je pratique de temps en temps. Sinon niveau vestimentaire … Je mets ce que j’aime sans soucis de mode. Des vêtements rock, punk ou même gothique selon mes envies. J’adore aussi les accessoires, bracelet, ceintures, colliers, bagues… Je n’ai pas de tatouage mais par contre j’ai plusieurs piercings. Un à la lèvres, un à la langue et un certains nombres aux oreilles aussi. Il m’arrive aussi de mettre du vernis, quand l’envie m’en prend, de temps en temps. J’ai une petite cicatrice dans le bas de mon dos, juste au-dessus de mon bassin vers la droite.
Description PsychologiqueJe suis comme beaucoup de monde, portant un masque pour cacher mes blessures. Si vous me rencontrez, vous me trouverez sans doute joyeux, ouvert, sympathique. Ce n’est pas vrai faux. A vrai dire, je suis bel et bien gentil. Je ne supporte pas de blesser quelqu’un. Résultat, j’aie souvent tendance à éviter les conflits. Cependant en cas de besoin, je n’hésite à me battre, même si je n’aime pas trop ça. Quand je rencontre quelqu’un, je me montre toujours sympathique et chaleureux, à sourire à tous va. Je cherche à bien m’entendre avec tous le monde, bien que je sache que c'est impossible. J’ai aussi tendance à me mêler de ce qui ne me regarde pas, lorsque je vois que quelqu’un à des problèmes, ou semble triste. J’aime aider les autres. Je me fâche rarement, même si la colère gronde en moi. Ah, petit point à connaître sur moi, je drague. C’est une vraie manie, et comme je suis bisexuel, bah, je drague les filles et les garçons. Même les hétérosexuelles … ce qui peux causer quelques petits .. problèmes. Mon insouciance peux paraître dérangeante pour certain, et je suis habitué aux douches froides. En réalité, bien que je discute avec les gens sans problème, je n’ai pas de réels amis. Pour cause. J’ai peur de lier des liens avec les autres. Je déteste parler de moi, et si je me rends compte que je deviens trop proche de quelqu’un, je peux me montrer subitement froid et distant avec cette personne. Je faire tout pour l’éloigner de moi. Je ne veux dépendre de personne, bien que je protège ceux qui me sont chères. Et ils sont peu nombreux. J’aime aussi énormément la solitude, allant me balader dans les coins déserts, ainsi que la nature. Autre particularité, j’adore tout ce qui est sucrerie, bonbons, gâteaux, etc … Puéril, peut-être, mais qu’est-ce que c’est bon ! Donc oui, j’ai un (petit) côté enfantin, mais ça crée un certain charme, non ?
HistoireIl y a dix-neuf ans de cela, un beau jour de mars, une femme était à l’hôpital. Non, ne vous inquiétez pas, elle n’était ni blessée ni mourante. Au contraire, ce jour-là elle donna la vie. Cette femme s’appelle Emma, et c’est ma mère. L’accouchement se déroula sans accro. C’est ainsi que je suis arrivé dans le monde. Ma mère et mon père étaient tous deux très heureux de ma naissance. On était une famille normale, mes deux parents travaillaient, et sans être riche pour autant on vivait plutôt bien. Mon enfance se déroula comme n’importe quelle enfance il me semble. J’avais des amis, j’étais joyeux et enthousiasme comme n’importe quel enfant. Tout allait bien. Mais les choses basculèrent durant l’année de mes six ans.
Le 21 décembre, mon père mourut dans un accident de voiture. J’étais aussi dans la voiture ce terrible soir. Mais je survécu par chance, alors que j’étais à l’arrière de la voiture. Je ne m’en souviens pas avec précision. Il me reste cependant quelques bruits, des odeurs ainsi que quelques images floues pour la plupart. Je resta plusieurs jours à l’hôpital, pour des fractures et d’autres blessures mais surtout car j’étais en état de choc profond. Ma mère était elle aussi inconsolable. Elle aimait réellement et sincèrement mon père. Ce fut très dur pour elle. Pour moi, c’était aussi terrible puisque je me sentais responsable de l’accident. En effet, j’étais en train de parler avec lui au moment ou ça s’est produit. Je pensais, et je pense encore que j’aie déconcentré mon père ce qui a causé l’accident et sa mort. Après cela, je me renferma sur moi-même, ne parlant plus qu’à ma mère, enfin ; uniquement quand c’était indispensable. Je m’en voulais tellement, dans ma vision d’enfant, c’était moi qui aurais du mourir ce soir-là. De la viens ma peur presque obsessionnel de blesser à nouveau quelqu’un. Qui plus est, avec la mort de mon père, la vie devient plus difficile au niveau matériel. On dut déménager dans un petit appartement. Ma mère dut même prendre un deuxième travail pour nous faire vivre. Moi, je n’arrangeais rien, passant le plus de temps possible dehors, seul. Je ne voulais parler à personne.
Le temps passa, et petit à petit, je m’ouvris de nouveau aux autres. Bien sur, je restais assez solitaire mais je répondais quand on venais me parler, et parfois même, je prenais l’initiative d’aller parler avec quelqu’un. Ce n’étais pas grand-chose mais pour moi c’était un grand pas en avant. A la maison, ma mère n’avais pas beaucoup de temps pour moi, mais elle faisait de son mieux pour qu’on puisse vivre décemment. Elle essayait aussi de maintenir la communication avec moi, chose pas toujours facile puisque je me considère comme celui-ci qui a crée tous ces malheurs.
Un jours alors que j’avais once ans, on eue une grande conversation tout les deux. Ca dura longtemps, des heures même. On parla de mon père, de l’accident, du fait que je me considère responsable de la mort de celui-ci, du fait que je reste seul, d’a quel point elle s’inquiétait pour moi et de pleins d’autres choses. Après ça, je me décida à me bouger. Je ne pouvais pas continuais à blesser ma mère de cette façon. Je bossa dur à l’école, je me trouva des petits boulots, dès mes quinze ans. Je faisait de mon mieux pour prendre soin de ma mère, ainsi que pour m’ouvrir aux autres. Où en tout cas, faire semblant d’être ouvert et insouciant. Ma mère utilisa l’argent de l’assurance vie de mon père, qu’elle avais mis de côté jusque là, pour me payer de bonnes études.
Cependant, je ne voulais pas restais à ses crochet pour toujours. Sur un coup de tête, je décida de déménager. Je voulais, et j’avais besoin de changer de ville. Je m’installa donc à Arcadia, dans un petit appartement, après avoir fais une promesse à ma mère. Si je partais, je devais adopter un hybride, pour que je ne reste pas seul. Et je compte bien tenir ma promesse.