Angie

Prénom: Angie
Age: 16 ans
Date de naissance: 2 novembre 1997 
Nationalité: Américaine
Préférence sexuelle: hétéro

Rang : rebelle

Prédéfini : non

x Portrait x

Description Physique

Coucou, je m’appelle Angie, je suis une jeune californienne de 16 ans. Je mesure environ 1m59 et je peux me vanter d’avoir une taille de guêpe. J’ai la chance de vivre dans un pays ensoleillé mais je n’arrive malheureusement pas à bronzer. Mes longs et bouclés cheveux roux sont brillants, soyeux et très bien entretenue. Mes oreilles et ma queue sont naturellement très clairs. Ma mère m‘a toujours dit que mes yeux bleus translucide sont emplis de malices, d’espiègleries et de joie à toutes épreuves et que mon petit nez en trompette est proportionnellement parfait. Je souris sans arrêt même lorsqu’on me l’interdit, mes lèvres pulpeuses séduisent facilement le sexe opposé ainsi que mes traits fins et ciselés. Beaucoup d’hommes complimentent mes pommettes hautes, et mes joues d’enfant me donnent un air éternellement enfantin. Mon cou gracile et fin est souvent orné d’un collier rose, mes épaules sont la plupart du temps cachées par mes cheveux. Sur ma fesse droite se trouve un tatouage représentant un motif étrange, une plante avec de nombreuses toges s’emmêlant les unes dans les autres et sur certaines se trouvent des fleurs, soit bien ouvertes, soit en train de s’ouvrir, soit il n’y a qu’un seul bourgeon. Je ne sais pas d’où il vient ni depuis quand je l’ai mais en tout cas je n’en parle jamais à personne.  Mes amies me disent que tout mon corps est parfaitement proportionné. Par contre je ne peux pas m’empêcher de complexer sur mes jambes trop petites et mes seins que je ne trouve pas assez imposants…   


Description Psychologique

Maman m’a toujours obligé à obéir aux « humains » sans grogner, sans m’opposer et avec le sourire. D’après ma mère, ils sont bien supérieur à nous, plus intelligent, plus beaux, plus drôles. Au fond de moi il y a une voix qui me dit de m’opposer à eux, que j’ai autant le droit d’être libre et heureuse qu’eux, que nous autres, les hybrides sommes leurs égaux mais je m’empresse toujours de la faire taire. Je décevrais mes parents si je faisais et disais ce que cette voix me souffle à chaque fois qu’un « homme » m’oblige à faire quelque chose de trop dégradant de d’humiliant… J’adore le rose, surtout le rose pastel, et le blanc que je ne porte presque jamais. Je suis de très près la mode, le maquillage et quand j’en ai l’occasion, c’est-à-dire presque jamais, je me maquille. Je n’ai qu’on meilleur ami à qui je peux tout confier car je sais qu’il ne dira jamais rien : c’est mon chat, il s’appelle Shakespeare, c’est un Persan chinchilla tout blanc, tellement mignon que personne ne peut lui faire de mal. C’est le maître de mes parents qui me la offert, je n’ai jamais su pourquoi mais en tout cas je suis bien contente de l’avoir mon petit Shakespeare, il est toujours là pour me remonter le moral, me faire sourire et rire quand je suis triste. Ma vie est presque parfaite, il ne manque plus que ma liberté est se serait un pur bonheur.  

Histoire

Je suis en fin d’automne, un 2 novembre pour être précise. Ma mère m’a toujours dit que malgré la souffrance de l’accouchement, ce fut le plus beau jour de sa vie et qu’aucun autre ne pourrait égaler ce jour de joie intense. J’ai grandi dans une belle petite maison près du manoir des maîtres de maman. Ma mère aimait beaucoup s’en occuper lorsqu’elle n’avait aucune corvée à faire ou sa « tâche » hebdomadaire. Je n’apprendrai qu’à mes 12 ans que cette fameuse tâche était le sport au lit qu’elle était OBLIGEE  de pratiquer avec son maître, le vendredi après-midi. Je ne sais rien de mon père, même pas son nom et, à chaque fois que j’interrogeais ma mère sur mon géniteur, elle ne me répondait pas et vaquait à ses occupations. Ma vie a toujours était plutôt tranquille, le maître ne me demandait jamais rien à part de ne pas l’embêter. Un jour, il m’a offert Shakespeare, mon chat. Je ne sais pas pourquoi il me l’a offert, peut-être parce que je ne l’ai jamais l’embêter… Bref, mon Shakespeare c’est toute ma vie, toujours là pour moi. De plus, c’est un vrai pitre, il adore jouer avec un bout de ficelle et quand on la lui met juste au-dessus de la tête il fait plein de cabrioles, c’est trop drôle.

Mais un jour, ma belle vie prit fin, et tout s’effondra autour de moi. Ça s’est passé un dimanche matin, alors que maman et prenions notre petit déjeuner avec entrain. Elle me dit – je me souviendrais toujours de cette phrase – « Tu crois que ce serait chouette si on aller… » et c’est pile poil ce moment-là que la porte s’est ouverte avec fracas. A la porte se trouvait cinq personnes, le maître de maman et des étrangers. D’habitude j’aime bien les étrangers mais là, quelque chose dans leurs regards ne faisait vibrer de peur. Ma mère hurla de m’enfuir pendant qu’il en était encore temps. Au début je refusais de m’en aller sans elle, ma mère était tout ce que j’avais au monde avec Shakespeare. Elle me supplia de partir loin très loin, qu’elle préférait me savoir vivante loin d’elle que morte près d’elle. Ses yeux suffirent à me convaincre. Elle pleurait. J’ai pris Shakespeare avec moi et je suis partie en courant par la porte de derrière. J’ai couru je ne sais combien de temps. Je voulais juste être loin de ces hommes au rictus sadique et cruel mais en même temps je voulais revenir sur mes pas pour voir comment aller maman… Je n’étais jamais parti aussi loin seule. Une fois que j’eus atteint une forêt, je m’arrêtais, le souffle court. Je restai pendant deux ou trois moi dans les bois, dormir à la belle étoile avec mon chat. Une nuit alors qu’elle dormait quelqu’un m’embarqua dans un fourgon. Il était froid et gris. Sur la porte arrière de celui-ci se trouvait une fenêtre à barreau, comme dans les prisons qu’on voit dans les dessins-animés. Je regardai autour de moi cherchant Shakespeare mais ne le trouva nulle part, pas même dans un coin de la fourgonnette. Des larmes coulèrent le long de mes joues. J’avais perdu ma mère deux mois auparavant et voilà que mon petit Shakespeare était loin de moi à présent. Je n’avais plus rien, j’avais tout perdu, moi qui pensait que cela ne pouvait pas être pire… Shakespeare était tout ce qu’il me restait et voilà que je ne l’avais plus.

Je dus m’endormir car je ne me souvins pas d’avoir était sorti du fourgon puis déplacé dans une cage dorée comme celles des petits oiseaux… Attendait, dans une cage ? Que faisais-je dans une cage dorée ? Paniquée je regardai autour de moi, sans comprendre où j’étais. Un autre hybride à côté de ma cage avait dû voir ma détresse et prit le temps de me rassurer et de m’expliquer où j’étais. Je ne savais pas qu’on était réduis à ce point-là, réduis comme des moins que rien, des pauvres vermines, des pestiférés qui n’était bon qu’à donner un plaisir charnels et à récurer les toilettes jusqu’à la fin de notre vie. Ces s*****s d’humain avait détruit ma vie, avait sûrement torturé ma mère pour savoir où j’étais partie, m’avait embarqué dans une fourgonnette en laissant mon seul ami dans une forêt où personne ne pouvait le protéger. Soit il avait vu la scène et avait essayé de me rattraper sans succès soit il ne s’était rendu compte de rien et allait se demander où j’étais passée et pourquoi je l’avais abandonnée… enfin s’il avait passé la nuit…

A présent je me trouvai dans une cage dorée, froide et exiguë, je ne connaissais personne et mon voisin de cage m’avait vite oublié… Bref, j’étais seule et à partir de maintenant je ‘étais plus qu’une hybride par tant d’autres et mes chances de trouver un maître doux et aimant étaient divisées par je ne sais combien vu le monde qu’il y avait dans cette animalerie. En résumé je n’étais qu’un parmi tant d’autres…

x Derrière l'écran x

Sexe: féminin
Age: 15 bientôt 16
Pays: France

Comment avez-vous connu le forum: par hasard ou bien est-ce le destin qui c'est ?
Que pensez-vous du design: Il est plutôt très bien réussi

Fréquence de connexion: pour le moment surement 1 ou 2/7 jours
Nombre habituel de lignes/post: tout dépend de mon imagination mais environ entre 30 et 50 lignes

Coucou jolie petite. Je te souhaite la bienvenue ici. Je voulais simplement te dire que ton avartar ne correspond pas à la taille indiquée dans le règlement. Si tu as un problème ça (recadrage, hébergement, aide pour savoir comment faire... ) n'hésite pas à nous contacter, on se fera un plaisir de t'aider.

J'espère que tu te plairas parmi nous, jolie demoiselle.

La fiche est parfaite, comme à si bien dit Nina, il te manque seulement un avatar dans les bonne dimension sois 200*400 et tu sera valider!

Voilà c'est fait

*Soudain apparait dans un nuage de fumée une bonne fée à l'odeur du chocolat*
Hoho... Une arrivante youpla ! Tu es la bienvenue !
Regarde comme ces chères admin' bossent bien U_u. Ahem, bref ta fiche est PAR-FAITE !
Et comme tu as bien changer ton avatar (qui est trop mimi d'ailleurs °////°) je te valide de mon coup de baguette magique !

LOL merci beaucoup